Mise à jour le 23 mai 2022
Publié le 19 janvier 2022 – Mis à jour le 23 mai 2022
Professeur de littérature et culture britannique
didier.girard@univ-lyon2.fr
Professeur à l’Université de Lyon 2, DEMA (Département d’Études des Mondes Anglophones), Faculté des Langues, depuis septembre 2021. Laboratoire à Lyon 2 : LCE Langues et Cultures Européennes (EA1853), Axe SEUILS.
À Lyon 2, Didier Girard enseigne principalement la littérature britannique des dix-huitième et dix-neuvième siècles, la traduction, et la préparation au concours d’agrégation.
Agrégé d’anglais (1996), essayiste et traducteur chez José Corti depuis 1989 (en particulier dans la collection « Romantiques »), auteur d’une thèse sur un aspect singulier des avant-gardes et du surréalisme européen à travers une étude de l’œuvre, alors inédite, du poète et mécène « Edward James, poète hypnagogique » (1996, Montpellier III-Paris IV, dir. Alain Blayac et Luce Bonnerot).
Maître de Conférences en littératures anglophones à l’Université Perpignan – Via Domitia (1999-2006).
Habilitation à Diriger des Recherches, soutenue en novembre 2006, sous la direction de Marc Porée, à l’Université de Paris 3 – Sorbonne nouvelle.
Titre du dossier : « Aux Détours de la sensibilité ». Le dossier de synthèse développe une réflexion sur la sensibilité et sur l’insensibilité dans le domaine des pratiques artistiques à diverses périodes (au tournant dix-huitième vers le dix-neuvième, au début et à la fin du vingtième siècle). Au niveau de sa thématique, la synthèse aborde les vertus et les singularités d’un art passif et vulnérable, relativement anhistorique, où la sensibilité ne se lit pas qu’à la seule mesure du pathos ou de la douleur, mais bien dans sa capacité à bouleverser ou de faire passer d’un champ de sensation à un autre. Au niveau de son corpus, les œuvres polymorphes de Beckford, Hope, Peacock, Swift, et toute la vague tardive du romantisme, et au 20e, Ballard, Banville, Burroughs, Carrington, Dalí, Duchamp, James, Nabokov, O’Hara, Picabia, Powell, Schwitters, et Denton Welch.
Professeur des Universités depuis 2007 (Perpignan, Haute Alsace en 2009, Tours en 2013), Didier Girard a été le co-concepteur et le coordinateur général du premier Master Erasmus Mundus dans le domaine littéraire, « Crossways in European Humanities » (7 universités européennes), puis du premier Doctorat en Lettres et Sciences Humaines, « Cultural Studies in Literary Interzones », (consortium de 14 universités piloté depuis Bergame en Italie), de 2006 à 2016.
Thèmes de recherche :
- Roman et poésie britanniques (1760-1830) - Fiction moderniste (1880-1940).
- Réseaux, communautés globales et république des Lettres (long XVIIIe et avant-gardes européennes XXe).
- Anthropologie culturelle et cultures de l’image (XVIIIe - XXIe).
- Traduction et Interzones littéraires (géopolitique, histoire, arts, artisanat).
Professeur à l’Université de Lyon 2, DEMA (Département d’Études des Mondes Anglophones), Faculté des Langues, depuis septembre 2021. Laboratoire à Lyon 2 : LCE Langues et Cultures Européennes (EA1853), Axe SEUILS.
À Lyon 2, Didier Girard enseigne principalement la littérature britannique des dix-huitième et dix-neuvième siècles, la traduction, et la préparation au concours d’agrégation.
Agrégé d’anglais (1996), essayiste et traducteur chez José Corti depuis 1989 (en particulier dans la collection « Romantiques »), auteur d’une thèse sur un aspect singulier des avant-gardes et du surréalisme européen à travers une étude de l’œuvre, alors inédite, du poète et mécène « Edward James, poète hypnagogique » (1996, Montpellier III-Paris IV, dir. Alain Blayac et Luce Bonnerot).
Maître de Conférences en littératures anglophones à l’Université Perpignan – Via Domitia (1999-2006).
Habilitation à Diriger des Recherches, soutenue en novembre 2006, sous la direction de Marc Porée, à l’Université de Paris 3 – Sorbonne nouvelle.
Titre du dossier : « Aux Détours de la sensibilité ». Le dossier de synthèse développe une réflexion sur la sensibilité et sur l’insensibilité dans le domaine des pratiques artistiques à diverses périodes (au tournant dix-huitième vers le dix-neuvième, au début et à la fin du vingtième siècle). Au niveau de sa thématique, la synthèse aborde les vertus et les singularités d’un art passif et vulnérable, relativement anhistorique, où la sensibilité ne se lit pas qu’à la seule mesure du pathos ou de la douleur, mais bien dans sa capacité à bouleverser ou de faire passer d’un champ de sensation à un autre. Au niveau de son corpus, les œuvres polymorphes de Beckford, Hope, Peacock, Swift, et toute la vague tardive du romantisme, et au 20e, Ballard, Banville, Burroughs, Carrington, Dalí, Duchamp, James, Nabokov, O’Hara, Picabia, Powell, Schwitters, et Denton Welch.
Professeur des Universités depuis 2007 (Perpignan, Haute Alsace en 2009, Tours en 2013), Didier Girard a été le co-concepteur et le coordinateur général du premier Master Erasmus Mundus dans le domaine littéraire, « Crossways in European Humanities » (7 universités européennes), puis du premier Doctorat en Lettres et Sciences Humaines, « Cultural Studies in Literary Interzones », (consortium de 14 universités piloté depuis Bergame en Italie), de 2006 à 2016.
Thèmes de recherche :
- Roman et poésie britanniques (1760-1830) - Fiction moderniste (1880-1940).
- Réseaux, communautés globales et république des Lettres (long XVIIIe et avant-gardes européennes XXe).
- Anthropologie culturelle et cultures de l’image (XVIIIe - XXIe).
- Traduction et Interzones littéraires (géopolitique, histoire, arts, artisanat).